Petrificus Totalus
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Petrificus Totalus

École de Sorcellerie de Poudlard
 
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 < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~

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Lay A. Rossfell
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Lay A. Rossfell


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MessageSujet: < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~   < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~ Icon_minipostedLun 28 Jan - 4:03

° N E V E R G I V E U P °


< Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~ Lay


Quand la boîte à musique cesse de jouer,
quand je ressens le besoin de me confier,
quand il n'y a personne derrière les volets fermés,
Tout ce que je désire...
C'est de pouvoir te parler.



]INFOS PERSONNELLES[
« Combattre est synonyme de neutraliser »


__________________
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯



° NOM : Rossfell.
° PRÉNOM : Lafray Alice, peu de gens le prénomme de cette manière.
° SURNOM : Lay, Laylay etc.

° ÂGE : Onze ans.
° DATE DE NAISSANCE : 1O Février 1997.
° SIGNE ASTROLOGIQUE : Verseau.
° GROUPE SANGUIN : A positif.
° SEXE : Masculin.
° ASCENDANCE : Ses parents ne sont pas sorciers, Lay est donc un pur moldu. Je puis vous assurer que les bancs de Poudlard deviennent rapidement instables pour notre cher Gryffondor. Peu de gens acceptent sa « différence » du point de vue « pureté ». Heureusement qu'il n'est pas encore classé dans les cas désespérés, Lay est un dur, il saura s'en sortir ! Wink

° LIEU DE NAISSANCE \ D'HABITATION : Il est né à Carlisle en Angleterre, puis a déménagé à Limerick en Irlande, pour finalement revenir à Wakefield où il vit actuellement.
° LANGUE(S) PARLÉE(S) : Tout d'abord l'anglais, puis le gaélique et une notion décousue de français.

° MAISON : Gryffondor ; un paquet de débiles en capes carmin, selon lui. =|
° ANNÉE SCOLAIRE : Première.
° POSTE : Aucun de spécial (simple élève).

° OBJET FÉTICHE : Une boîte à musique ayant parcourue plusieurs kilomètres, ayant traversée bien des épreuves et ayant passée entre multiples mains…
° MATIÈRE PRÉFÉRÉE : Un penchant pour la métamorphose et les cours de vol sur balais (comme c'est étonnant Rolling Eyes).
° MATIÈRE DÉTESTÉE : Les sortilèges. Trop de trucs à mémoriser pour l'esprit déjà en surcharge du jeune Rossfell.
° ÉPOUVANTARD : Un fantôme, sans doute (c'est mal parti pour lui, se retrouvant à Poudlard où il y en a des tonnes =/).
° PATRONUS : Bien qu’il n’ait encore jamais tenté l’expérience, je dirais qu’une petite grenouille qui bondit sans cesse lui conviendrait sûrement.

° VOIX : [???]
° PARFUM : Il sent le chocolat o__o.
° ÉQUIPE PRÉFÉRÉE : Ballycastle Bats, équipe d'Irlande du nord.
° NOMBRE DE PIERCINGS : Zéro.
° TATOUAGES : Zéro.
° COULEUR DES CHAUSSETTES : Il n'en porte pas.
° LE PRÉNOM QU'IL NE VOUDRAIT JAMAIS PORTER : Samuel, le prénom de son petit cousin chiant >_<"
° POSITION DANS LAQUELLE IL DORT : Lay adore avoir l'impression d'être écrasé, sans que l'on sache vraiment pourquoi. Voilà donc la raison du fait qu'il dort sur le dos, enserrant son oreiller sur lui.
° LUNETTES OU VERRE DE CONTACT : /
° COULEUR PRÉFÉRÉE : Bleu et jaune.
° SAISON DÉTESTÉE : Il les aime toutes.
° NOMBRE DE RELATIONS SÉRIEUSES : Zéro.
° ALCOOL : Sa mère est très stricte sur le sujet, et Lay n'a jamais vraiment eu envie d'essayer de voir ce que ça goûtait.

° PLUS TARD, IL SERA : Joueur de Quidditch professionnel, c'est son but o__o (notons ici le fait qu'il ne sait, à proprement parler, pas du tout voler sur un balai -__-")

° BAGUETTE MAGIQUE :

« 34, 35, 36, 37, 39... »

La voix du gamin fut coupée par celle plus grave d'un homme qui se tenait à ses côtés, portant sur ses épaules un étrange sac à dos en toile bleu marine. Il avait un sourire plutôt enjôleur, le genre qui ne passe pas inaperçu auprès des femmes. Assez grand, il avait une démarche plutôt rude, et ses grandes mains étaient plaquées sur les épaules du plus jeune, comme s’il s’était s’agit d’un stupide muret de brique peu solide : « Avant trente neuf, il y a trente huit, Lay. Tu devrais te souvenir, puisque c'est mon âge. »

Un sourire s'installa sur les lèvres de l'enfant, persuadé que l'homme lui mentait, qu'il s'amusait à ceci en plaisantant, comme il avait souvent l'habitude de le faire. C’était une habitude qu’il avait pris au fil des ans, et cela avec tout le monde. Le gamin n’en était pas fâché pour autant, et il avait pris l’habitude de ne plus croire une seule des paroles que l’homme lui disait. Pourtant, il ne pouvait pas nier que celui-ci avait l’air plutôt jeune, et que l’âge qu’il lui « proposait » pouvait très bien être réel. Il ne pu cependant pas défendre ce point de vue, car déjà l’autre s’était remis en marche. Lay poussa un léger soupir exaspéré avant de suivre l’homme, gambadant derrière lui avec l’air surexcité de quelqu’un qui allait résoudre quelques mystères.

Ils marchèrent un moment ainsi, à la recherche d’un endroit qu’ils ne semblaient pas trouver. Lay se mettait alors à regarder autour de lui, inspectant les maisons, les boutiques, les petits restaurants… Il était vrai que lui et LOW ne connaissaient pas bien Londres pour ne jamais y avoir vécu. Lay était d’ailleurs bien déçu par son oncle qui ne trouvait encore pas le moyen de s’acheter une voiture, et comme les billets de bus avait vidé ses dernières réserves, les deux personnages de sexe masculin durent se contenter de marcher quelques kilomètres pour se rendre dans la rue qu’ils désiraient tant trouver. Ce fut comme une illusion d’optique ; la bâtisse vieillotte disparaissait, puis réapparaissait dans le temps de quelques clignements d’yeux. « Le chaudron baveur » apparut au regard de Lay comme un endroit miteux et presque effrayant, lorsqu’il passa le pas de la porte en tenant LOW par la main, il eut la frousse de sa vie et se mit à hurler d’une voix aigüe. Il fallait dire que quand une araignée nous tombe sur la tête, nous avons souvent tendance à, comment l’expliquer… Trouver cela écœurant ? xD

Les individus présents se retournèrent assez rapidement, oubliant le fait que le gamin avait paniqué, et qu’il s’appliquait désormais à détruire l’araignée en l’écrasant sous ses baskets usées. Le barman fit signe à LOW de s’avancer, et Lay le suivit avec joie, son cœur reprenant un rythme normal.

Dès qu’ils furent debout derrière le comptoir, le barman jappa presque les mots suivants : « Vos noms ! »

Le plus jeune leva les yeux vers son oncle, curieux de voir ce que celui-ci allait répondre. Il était vrai que son nom était loin d’être singulier, et il avait toujours une rocambolesque histoire à raconter sur ce sujet. Pourtant, cette fois-ci, LOW se contenta de jeter un coup d’œil à sa montre, se rendant après coup compte que celle-ci ne fonctionnait plus, puis finit par répondre de sa voix grave et rassurante un : « Laurence Oléandre White » qui sembla contenter le barman au visage abîmé par les années passées dans ce que Lay aurait pu qualifier de « trou à rats »

Après ce petit échange, les deux individus passèrent près des tables de bois et disparurent derrière une porte qui menait à l'arrière cour. C'est là que Lay découvrir le passage qui les emmènerait sur le Chemin de Traverse. Cela avait toujours été un sujet d'intrigue dans la famille de Lay -cet endroit semble merveilleux mon chéri, imagine toutes les choses étranges que tu y retrouveras !-, et il se sentait désormais privilégié de pouvoir visiter celui-ci, même si c'était avec LOW. Ils marchèrent un moment dans l'allée principale, Lay éblouit par la beauté des boutiques colorées, et défiant du regard certains adultes qui le dévisageaient bêtement lorsqu'il sautillait devant les vitrines. Comme le jeune blondinet avec la parole facile, on le lui reprochait souvent et les gens n'aimaient pas beaucoup les trucs qu'ils leur racontaient à tout va.

Après avoir acheté la plupart des fournitures notées sur le parchemin que Laurence (LOW) tenait dans ses grandes mains, les deux individus se décidèrent à aller dans la boutique de monsieur Ollivanders, qui était un fabricant de baguettes magiques, l’objet le plus précieux pour un sorcier. Imaginez un gamin de dix ans qui apprend du jour au lendemain que la magie existe vraiment alors qu’il vient à peine de découvrir que le Père Noël est un mensonge commercial, et qui se retrouve sur une allée remplie de boutiques aux ventes loufoques… puis à qui son oncle dit en souriant : « Baguette magique, maintenant… ». Il était tellement heureux de pouvoir vivre un tel conte de fée ! Et… « Lafray » C’était évidemment pour le taquiner qu’il l’appelait par son véritable prénom, mais celui-ci ne trouvait pas cela vraiment drôle et se contenta d’accélérer le pas en direction de l’ancienne boutique. Il avait toujours détesté la sonorité de ce prénom et lorsqu’on lui rappelait l’existence même de ce simple mot, il se mettait tout de suite à arrêter de rire et se mettait en colère, boudant tout le monde ou leur parlant froidement jusqu’à ce que quelqu’un réussisse à lui changer les idées… Laurence ne dit rien, suivant son neveu avec un petit sourire mesquin sur les lèvres.

« Ollivanders » était une petite boutique étroite et remplie d’étagères débordantes de minces boites contenant ces petits bouts de bois si importants aux yeux des sorciers. La poussière était assez présente, et Lay éternua, ce bruit étrange passant inaperçu derrière le son de la petite cloche qui sonna lorsque LOW ouvrit la porte à son tour. Ils examinèrent rapidement la pièce, découvrant leurs reflets dans le miroir accroché au mur, et se rendant compte que le vendeur n’était apparemment pas là. Lay songea que celui-ci était probablement dans l’arrière boutique, et il se précipitait déjà derrière le comptoir, mais fut arrêté dans sa course par le bras solide de Laurence qui lança de sa voix puissante : « S’il vous plait ! » Quelques secondes à peine après ceci, ils entendirent des pas feutrés et virent apparaître un vieillard au regard perçant et à l’allure un peu ‘fouillis’. Il leur envoya un sourire d’accueil, puis baissa immédiatement les yeux vers Lay qu’il reconnut comme l’acheteur : « Bonjour, puis-je savoir votre nom ? » Lay n’eut pas le temps de répondre que déjà LOW avait ouvert la bouche : « Rossfell, Lafray… moldu » Ollivanders –si Lay avait bien saisit- posa son regard bleu ciel sur l’adulte, un peu irrité d’être dérangé par quelqu’un qui possédait déjà l’objet du désir de Lay. « 33 centimètres, bois de pin, contenant une plume d’hippogriffe, monsieur White… » Le blondinet fut surprit de voir que le vendeur se souvenait exactement des éléments de la baguette de son oncle. Il était si impressionné qu’il lança un espèce de petit cri aigüe qui agrandit le sourire d’Ollivanders.

« Trop fooooort ! o__o »

Après que le sourire de Laurence fut disparut et qu’Ollivanders eut finit de se moquer, ils commencèrent à prendre les mesures nécessaires et ce fut bientôt le temps tant attendu –bien que cela prit un certain temps car Lay ne cessait de gigoter dans tous les sens, posant sans cesse des questions au vendeur- où Ollivanders se dirigea dans les allées pour trouver l’objet parfait pour son jeune client. Ils essayèrent quelques baguettes, une dizaine environ, et à un moment, ce fut la révélation…

Elle était assez courte pour une baguette magique, dix-neuf centimètres, peut-être ? De couleur acajou, elle était traversée de filaments noirs qui s’entremêlaient dans le bois, le bout était arrondi et lorsque Lay la prit dans ses mains, de magnifiques étincelles orangées tournoyèrent autour de l’extrémité de la baguette magique. Il avait les yeux brillants, la bouche entre-ouverte dans une expression d’ahurissement profond… c’était si merveilleux, tout ce qu’il avait imaginé, toutes les choses qu’il s’était dite en imaginant sa vie de sorcier : C’était vrai. Ça existait vraiment… Il se sentait surexcité et heureux, et une nouvelle énergie semblait bouillonner en lui. Lay, affublé de son plus beau sourire, capta le clin d’œil d’Ollivanders lorsqu’il amassa les gallions que le jeune garçon lui donna, et il remercia le fabricant pour ce cadeau merveilleux. C’était un simple objet, qui signait pour Lay le début d’une nouvelle vie pleine de magie et de choses merveilleuses auquel il n’aurait jamais pensé s’il était demeuré le fils bien ordinaire de ses parents. Lorsque lui et son oncle sortirent de la boutique, décidant de traîner encore un peu devant les boutiques, il caressa du bout des doigts sa baguette magique et la garda dans ses mains tout au long du chemin de retour… C’était son objet précieux, le présent qu’on lui avait offert avec un large sourire… Lay était désormais un sorcier : « Au fait… merci d’avoir payé ça oncle Lau’ » Celui-ci se contenta de poser ses mains contre les épaules de son neveu… « Tes parents seront heureux de voir ça, allez… »

Et ils disparurent finalement derrière le mur qui donnait passage du Chaudron Baveur jusqu’au Chemin de Traverse.

° FAMILLE :
+ Patrick Rossfell : Il est journaliste et il n'est pas rare de le voir à la télévision, son micro à la main et son sourire collé au visage. Il a une passion pour les vélos... Il y en a cinq dans le garage qui lui appartiennent o_o... Lay est toujours très fier de son père, il l'adore et l'idolâtre presque. C'est un homme joyeux, à l'écoute et brillant autant mentalement que par ses sourires.
+ Carole Rossfell : Elle dit la météo dans le même journal télévisé que Patrick, c'est là qu'ils se sont rencontrés. Ça a été le coup de foudre, comme on dit... Un coup d'œil, la bave qui coule au coin des lèvres de Pat' et BANG... Les feuilles qui volent d'un bord et de l'autre. XD Bref, c'est une femme qui fait beaucoup de sports avec son fils, elle est en train de lui apprendre le français, venant elle-même du Québec. Lay déteste cela, il préférait aller jouer une partie de tennis >_<
+ Laurence Oléandre White : C'est l'oncle de Lay, bien qu’ils soient seulement le frère adoptif de Patrick. Il est le seul sorcier de la famille, mais on dit que c'est normal, qu'il doit venir d'une famille de sorciers... Ça n'explique cependant pas pourquoi Lay l'est alors qu'il est d'une famille complètement moldue... Mystère.
+ Samuel et Nelly : (cousins de Lay du côté de sa mère) Un frère et une sœur d'un an plus vieille qui donnent beaucoup de fil à retordre à Lay -_-


]INFOS POUSSÉES SUR LE PERSO[
« Comprendre est difficile sans apprendre »


__________________
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Dernière édition par le Sam 9 Fév - 9:27, édité 2 fois
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Lay A. Rossfell
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MessageSujet: Re: < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~   < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~ Icon_minipostedJeu 7 Fév - 4:47


° DESCRIPTION PHYSIQUE : Lay est un garçon petit, il n’a pas encore eut de poussée de croissance majeure et ça paraît beaucoup, car il lui arrive souvent d’être de la hauteur d’une fille de son âge. Cependant, et même s’il est plus petit que les autres garçons, il est très sportif et a une forme du tonnerre ! Ses yeux sont marrons, ils sont si grands que Lay a souvent l’air ahuri et cela fait beaucoup rire les gens autour de lui. C’est mignon, d’ailleurs il est mignon tout simplement o_o ! Lay a une chevelure blond doré et ils s’emmêlent très facilement – il faut dire que Lay ne les brosse jamais, ce qui n’arrange pas les choses. Le jeune garçon s’arrache souvent les cheveux lorsqu’il effectue un examen ou un test dont il ne connaît rien du tout, mais ce n’est encore rien de grave ! Il a un visage sympathique qu’on a envie de regarder, un sourire honnête, il a prit l’habitude d’effectuer plusieurs moues qui lui donne une allure encore plus gamine, mais cela ne le dérange pas beaucoup. Il se dit qu’il ne sera jamais rien d’autre qu’un enfant dans sa tête, et les autres pensent la même chose. Lay est percé à trois endroits au niveau du lobe d’oreille. C’est le seul endroit où Carole a acceptée qu’on le perce -_- On peut donc dire que Lay a une apparence mignonne et sympathique, et qu’il pourrait bien se trouver une petite-amie, mais qu’il n’en a pas envie – « les filles c’est moche ! » – et c’est compréhensible pour le môme qu’il est dans son cœur et dans sa tête.
° FAÇON DE S'HABILLER : Lay ne jure que par les vêtements moldus, il en porte souvent à Poudlard, et les autres peuvent donc facilement le reconnaître comme étant un Sang-De-Bourbe. Il n’a pas de style particulier, il n’aime pas les gens qui ont des styles, il préfère s’habiller comme il en a envie o_o… Parfois il porte des trucs qui appartiennent à Nelly, mais c’est plutôt rare. C’est de toute manière la seule fille pour qui il n’a aucun préjugé o_o… Faut dire que Lay est un peu timide avec les demoiselles, les gens qu’il admire ou aime, tout simplement ! T-shirt, pull, jeans, baskets, chaussettes noires… c’est à peu près sa garde-robe xD
° GOÛTS CULLINAIRES : Il adore le riz et les pâtes, la viande – sauf le porc – et les légumes. Par contre, il déteste tout ce qui est sucré, ainsi que les fruits.
° GOÛTS MUSICAUX : Punk, pop et un peu de rock >_<
° PARTICULARITÉ(S) : Il sait taper sur sa tête et frotter son ventre en même temps ? XDD
° RELATION(S) AVEC LES AUTRES : Comment décrire comment il est avec les autres ? Amical… C’est certain. Il accepte n’importe qui comme ami, du moment qu’il partage ses ‘valeurs’ à lui. Lay évite cependant de parler aux filles et préfère la compagnie des garçons de son âge. Il faut dire que rares sont les gens qui supportent le gamin qu’est Lay. Même si l’enfant se fâche plutôt rapidement, c’est toujours pour protéger ses amis… Les brimades et le rejet, il ne l’a jamais expérimenté, mais voir des gens tristes ou autre, ça le rend furieux et il ferait tout pour les protéger. Courageux, il n’a donc pas peur de se mettre dans les pires situations si c’est pour ceux qu’il aime. N’ayant aucune conscience du danger, on se sert souvent de lui pour les missions ‘périlleuses’. Il a un grand cœur et il préfère agir pour le bien des gens que pour leurs malheurs. Il fait souvent des gaffes en s’exprimant mal, et la plupart du temps il dit mal les mots… alors les gens comprennent de travers. C’est un maladroit social, mais très agile physiquement. Lay est plutôt poli, mais trop proche des gens sans leur accord… en même temps c’est ce qui fait son charme. Tout le monde l’adore, il est gentil et coloré. C’est un vrai soleil sur pattes.


]HISTOIRE[
« La boite à musique a perdu sa mélodie et ne peut plus jouer »


__________________
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯



- Son Enfance : Lay est né dans une famille plutôt unie où tout le monde se respectait beaucoup. Les membres étaient souvent ensemble, et plusieurs réunions de familles étaient organisées durant l’année. À Noël, Lay adorait passer du temps avec ses cousins et cousines, mais aussi discuter avec les grands à qui il posait des tonnes et des tonnes de questions. En effet, l’enfant déjà en bas âge savait parler et il ne négligeait pas de faire aller son clapet autant que possible. Les gens étaient souvent exaspérés par sa grande curiosité et ses questions stupides. Carole et Patrick étaient parfois gênés que leur fils soit aussi maladroit dans ce qu’il disait, car il lui arrivait de faire mal aux gens sans s’en rendre compte, et il se fâchait parfois lors de jeux avec ses amis, revenant souvent en boudant et en disant : « C’est de sa faute, c’est de sa faute ! » Tout cela pour dire que l’enfance de Lay fut plutôt joyeuse. Il naquit à Londres, puis déménagea en Irlande où son père trouva un poste dans le journalisme. Il écrivait toute sorte de nouvelles dans le journal, et il lui arrivait d’arriver tard dans la nuit. Ce n’était pas facile pour Carole qui devait s’occuper de son fils, celui-ci ayant des problèmes à s’endormir – trop excité, disait le pédiatre. Lay adorait ce pays, il regardait souvent le sport à la télévision. Un jour, alors qu’il touchait ses six ans, il se dit que ce serait une bonne idée que de tenter de se faire un jardin comme Maman. Il sortit donc à l’extérieur, le long foulard rayé appartenant à son oncle Laurence enroulé autour du cou, et se dirigea vers la parcelle de terre gelée que constituait l’ancien jardin de Carole Rossfell. C’était l’automne, quelques jours avant l’anniversaire de Lay, et celui-ci voulait faire une surprise à tout le monde qui ne le croyait pas qu’il pouvait faire pousser des légumes, même en plein hiver.

Il s’assit donc en tailleur près de la parcelle de terre, et ferma lentement les yeux, tentant de se souvenir comment il avait parvenu, au bout d’un certain temps à se concentrer la dernière fois, à faire pousser par la pensée un plant d’haricots. Alors qu’il resongeait à l’air de Maman quand elle l’avait vu rentrer avec un plant de haricot, elle crû d’abord qu’il avait volé cela chez madame la voisine qui entretenait ses plants dans la maison. Elle le gronda donc sévèrement, lui infligeant la punition suivante : Pas de télévision durant trois jours. Lay promit de ne plus recommencer, mais comme il était encore un enfant, il décida de retenter l’expérience, ayant un peu peur de la réaction de sa mère, mais trop curieux et déterminé pour écouter sa Maman. Peu importe la punition, il ferait pousser son plant d’haricots ! Les sourcils froncés, les joues rougies par l’effort de concentration, les poings serrés, Lay tenta de toutes ses forces de faire pousser quelque chose, mais il ne se passa rien. Alors qu’il recommençait à essayer, il entendit des pas derrière lui et du se déconnecter de sa ‘transe’… C’est alors qu’il se mit à sourire, se leva, et sauta dans les bras de son oncle Lau’… Celui-ci l’avait vu faire avec une certaine inquiétude au visage, et après avoir lâché Lay, il se dirigea tout de suite à l’intérieur, attirant avec lui les deux parents qui virent leur fils dans une position inconfortable, l’air plus concentré que jamais. Ils restèrent tous deux bouche-bée devant cette image plus qu’étonnante, puis leurs yeux s’agrandirent bien vite de terreur et d’incompréhension totale lorsqu’une petite tige verte sortit du sol, effectuant une danse étrange, de jolies feuilles apparaissant une à une. Laurence s’approcha de Lay et posa sa main sur l’épaule de son neveu, l’enfant leva les yeux vers lui et puis suivit son regard qui était fixé sur le plant de haricots. Il éclata de rire, puis se leva en sautillant : « Je vous l’avais dit, je vous l’avais dit ! » chanta-t-il en tournoyant autour de ses parents qui n’en revenaient toujours pas.
« - Mais chéri, c’est impossible voyons. Insensé, même ! »
« - Tu l’as bien vu, maman ! Mommy, you saw it, right? »

Celle-ci hocha vivement de la tête, consciente que ce qu’elle venait de voir était bel et bien réel, qu’elle n’avait pas rêvé. Du côté de Patrick, c’était autre chose, il fixait son frère avec une telle intensité qu’on aurait dit qu’il voulait lui trouer la peau, et celui-ci le ressentit surement car il se tourna dans sa direction avec un air des plus interrogateurs. L’autre lui posa une question mentale que Laurence sembla comprendre… Il hocha la tête de haut en bas, tout en tentant d’attraper Lay qui continuait de sautiller partout en riant. Ce fut la découverte de pouvoir du jeune garçon, et même si c’était banal, cela représentait tout pour ses parents…

Les jours qui suivirent furent marqués par l’apparition des ‘jumeaux’ qui n’en étaient pas. Samuel et Nelly venaient souvent chez lui, et ils étaient aussi énergiques que Lay, sinon plus. Cela donnait de la vie dans la maison, et Patrick riait toujours beaucoup de les voir entrer dans son bureau avec des serviettes de bain sur la tête, courant après Lay qui criait : « Des fantômes, au secours ! » Chaque jour était un moment apprécié, et même dans les peines, on trouvait toujours le moyen de rire. Parfois, lorsque l’oncle Lau’ et sa nouvelle petite-amie venait, l’atmosphère se refroidissait car Patrick ne semblait pas très heureux. On ne savait pas vraiment pourquoi, et cela pouvait effectivement être inquiétant, mais Lay ne se rendait pas compte de cela, il continuait à rire et sourire sans retenue. Les parents Rossfell avaient finit par accepter la différence de leur fils, et ils avaient eux aussi beaucoup de questions sur la magie et le monde sorcier. On ne pouvait compter que sur l’aide de LOW qui était le seul sorcier de la famille, maintenant suivit de Lafray Alice Rossfell. Ne vous ais-je pas encore raconté pourquoi son deuxième prénom était ‘Alice’ ? Et bien c’est tout simple, en réalité… C’est un éloge à la mère de Patrick qui est morte en le mettant au monde… Quelle belle façon de la remercier que de donner son prénom au fils de celui pour qui elle est morte ?

Sinon, Lay suivait des cours dans une école de moldus, c’est là qu’il apprit à lire, écrire et compter, même s’il avait quelques difficulté dans la dernière catégorie, pour le reste ça allait parfaitement. Il adorait parler en public, également, et faisait partie de différents clubs. En même temps, on le retrouvait souvent avec un livre dans sa chambre, dont un que lui avait donné son oncle sorcier, sur un sport nommé ‘Quidditch’ qui se révéla être passionnant aux yeux de Lay. Celui-ci gardait ce livre précieusement, sous son oreiller. Il se promit même de s’inscrire dans l’équipe quand il entrerait à l’école, mais ses plans changèrent rapidement car…

Tout chamboula lorsque Lay eut ses neufs ans. Il éclata une grosse querelle entre Carole et Laurence, qui précipita le déménagement à Wakefield qui était prévu pour septembre et qui se déroula en mai de la même année. Lay fit tout de même promettre à son oncle avant de partir que ce serait avec lui qu’il achèterait sa baguette magique [voir la catégorie sous ce nom] et ses fournitures scolaires. L’année suivante, sa promesse fut tenue et Lay fut fin prêt pour commencer à feuilleter ses livres dont l’Histoire de Poudlard qu’il lisait consciencieusement avec son père avant de s’endormir. Celui-ci lui racontait souvent des blagues, souvent idiotes et absurdes, mais toujours rigolotes. Les attaques de chatouilles, les soirées passées à se parler de choses et d’autre dans la chambre avec la lampe de grenouilles… tout était si merveilleux ! La maison de Wakefield était grande et spacieuse. Patrick et Carole travaillaient tout deux pour un journal télévisé et ils étaient plutôt connus dans les rues. Comme Lay ressemblait beaucoup à sa mère, il arrivait à prouver qu’il était bien son fils et c’était toujours avec une grande fierté qu’il le disait. Un jour, il était en train de manger un bol de céréales quand un hibou apparut par la fenêtre ouverte de la cuisine. Lay se mit à crier à tue-tête, faisant descendre ses parents, les cheveux ébouriffés et l’air mal réveillé. Ceux-ci éclatèrent de rire lorsqu’ils virent l’hibou perché sur la tête de leur fils, et c’est avec joie qu’ils lurent les mots que Lay avait tant attendu… Il était admis à l’école de sorcellerie de Poudlard.

L’euphorie gagna bientôt dans la maison… Plus que quelques mois avant la rentrée… Lay n’en dormait presque plus la nuit !
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MessageSujet: Re: < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~   < Lay Rossfell > |Fini| ~Admin~ Icon_minipostedSam 9 Fév - 9:22

- Sa rentrée à Poudlard: Lay eut beaucoup de difficulté à s’endormir, il eut même la sensation qu’il n’avait pas dormi du tout. Le lendemain, il vérifiait ses bagages pour le long voyage, et Carole se permettait de lui gueuler dessus pour lui rappeler qu’il ne reSTAIT QUE TRENTE MINUTES, C’EST LONG ! Lay n’eut pas le temps de pousser la porte qu’elle s’ouvrait déjà, découvrant non pas sa mère, mais son père avec, entre les mains, un objet magnifique qui paralysa Lay sur place.

C’était une petite boite, d’environ 25 par 10 centimètres, en bois que Lay ne pouvait pas identifier sur le moment. Elle semblait bien ordinaire, vu comme cela, mais il semblait par les craquelures et les taches noires, qu’elle avait traversé bien des périples. Le sourire de Patrick s’agrandit, puis il vint s’asseoir sur le lit de son fils, celui-ci le suivant avec curiosité, un imaginaire se formant joyeusement dans son esprit. Quelle était cette boite ? Que renfermait-t-il ? Y avait-t-il un trésor caché à l’intérieur qui était encore plus mystérieux que la boite elle-même ? Tant de questions qui trouvèrent leurs réponses lorsque Patrick rentra la clé dans la serrure et leva le couvercle.

Une petite mélodie se fit entendre, douce et harmonieuse, une mélodie que Lay entendit, sa tête posée sur l’épaule de son père, un doux sourire aux lèvres. C’était comme si le temps s’était brusquement arrêter. Même les rideaux avaient cessés de bouger au gré du vent, et les bruits semblaient avoir disparut dans la chambre d’hôtel… mais Lay revint bien vite à la réalité quand Patrick referma la boîte, et que tout ce qu’il avait cru voir s’arrêter, était toujours là avec un grand vacarme.

« - C’est la boîte à musique de Laurence. Il m’a dit de te la donner »

Lay la serra dans sa malle, puis passa le couloir jusque à l’ascenseur où Carole l’attendait, ses clefs de voiture dans les mains. Heureusement qu’ils avaient payés cette chambre, car ils n’auraient jamais eu le temps de se rendre à Londres en si peu de temps. C’est donc avec un dernier signe de la main pour son père, que Lay descendit les étages à l’aide de l’ascenseur et se retrouva finalement dans la voiture, en route pour la gare de King’s Cross.

Arrivés là-bas, ils se rendirent au quai 9 ¾ qu’ils trouvèrent en suivant des sorciers qu’ils remarquèrent à leur accoutrement pour le moins étrange et non-moldu. Lay se retint vigoureusement d’éclater de rire, serrant la main de sa mère fortement, pour ne pas menacer de la perdre dans la foule de gens. Là-bas, Lay dit au revoir à Carole, qu’il serra dans ses bras, les mains un peu tremblantes par l’excitation et la nervosité qu’il ressentait. Il allait être tout seul, avec des sorciers, dans un train pour un lieu magique… Seul moldu actuellement dans une ère où les Mangemorts veulent le Sang-pur… Il avait beaucoup de raisons de s’inquiéter, avouons-le.

Le voyage se passa somme-toute assez bien. Après avoir traversé le lac dans les barques, et avoir bien admiré le gigantesque château magique, Lay put enfin mettre le pied sur la terre ferme. Il avait réussit à se dénicher des amis comme lui, et ensemble ils se dirigèrent vers le groupe de première année qui attendait de pouvoir entrer. Le hall était tout aussi magnifique que le château vu de l’extérieur, et bientôt on leur expliqua le déroulement de la cérémonie de répartition – que Lay avait complètement oublié avec le stress – et de toutes ces choses reliées à l’école. Ils attendirent encore, juste pour stresser notre jeune ami encore plus qui avaient une envie pressante et devait maintenant subir les contrecoups de son agitation perpétuelle. Le hall lui coupa le souffle avec son plafond magique, et il se sentait presqu’étourdi lorsque le Choixpeau se mit à chanter. Tremblant de la tête au pied, il fut dans les derniers à passer, et ce fut toute une épreuve. Il s’assit sur le banc, fermant les yeux lorsque le professeur posa le Choixpeau sur sa tête, puis écouta ce que celui-ci avait à lui dire : « Hum… Courageux et honnête… déterminé à parvenir à ses buts et à protéger les siens… foncer dans les dangers est une arme pour toi… Sans aucun doute, ta place est à… »

Et il hurla ‘Gryffondor’ à travers la pièce. On l’applaudit bien fort et il put donc s’asseoir à la table qui lui était désignée. Son cœur avait repris un rythme normal, maintenant qu’il savait qu’il était en sécurité chez les lions. Il savait désormais qu’il pourrait compter sur ses amis, et qu’avec ces gens il ne subirait pas les brimades des Sangs-Purs présent à Serpentard. Ou s’il avait à les subir, il ne serait jamais seul… Son sourire resta sur son visage tout au long du repas, à chaque pas qu’il faisait dans les couloirs, et même dans le dortoir où il s’endormit – avec grande surprise – sans aucune peine.
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