Au clair de la lune mon ami Laylay ZBAF | Pv

On les entendait de l’immense escalier menant au hall de l’école, leurs éclats de rires, leurs cris, leur joies, tous cela venait heurter les oreilles de la Serpentard. Celle-ci descendait lentement les marches tachant de ne pas être vue par les autres élèves de l’école qui mangeaient paisiblement comme si de rien n’était. Lentement, le regard de la vert et argent se posa sur la porte de la Grande Salle, c’est à ce moment précis, alors qu’elle était seule dans le immense hall alors qu’eux vivaient paisiblement leur vie qu’elle sentit le poids de sa différence s’abattre sur ses épaules. On est ce que l’on est comme on dit, et dans le cas d’Alexia c’était être un loup-garou, une vulgaire créature haït des sorciers quel que soit la pureté de leur sang, juste à cause de la peur. La peur, même si ils ne le savaient pas elle leur faisait peur, parce qu’elle est différente, parce qu’elle est effrayante, parce qu’elle n’est plus humaine.
Un soupir, léger, très léger, juste pour chasser toutes ses pensées sans importance de son esprit, elle ne devait plus penser à cela, une longue nuit l’attendait comme toute celle où l’astre brillait dans toute sa splendeur au milieux des milliards d’étoiles. Ce ne sont pas ces étoiles qui accueillir la jeune fille quand elle mis les pieds dehors, sortant enfin de ces murs de pierres oppressants de l’école pour retrouver la liberté du monde extérieur. Un léger vent venait caresser son visage, laissant ces cheveux viroletaient doucement sur ces épaules au fil de ces mouvements. Ses pas étaient précis, ceux d’une personne qui sais où elle va et qui en à l’habitude, mais ils étaient aussi traînant montrant son manque d’envie de s’y rendre. Mais le temps pressé, l’astre solaire continuait de descendre s’apprêta à disparaître pour faire place à la reine de la nuit : la lune, d’ailleurs déjà quelques étoiles commençaient à être visible.
Les mains dans les poches de son jeans, la loup-garou s’arrêta devant un immense arbre au branche énorme, l’arbre le plus violent de l’école. Oui violent, cette arbre se nommer le saule cogneur et la jeune fille avait appris à son arrivée la raison de sa présence dans cette école, il était là pour les gens comme elle qui devait se cacher des autres pour pouvoir rester à Poudlard. Lentement, elle commença à s’approcher, sa vigilance au maximum, il ne fallait pas prendre ce végétaux à la légère, la seule fois où elle avait vraiment était inconsciente elle s’était retrouvée à l’infirmerie. Une violent courant d’air venait de passer juste au dessus de ces cheveux, les faisant volaient autours de son visage alors qu’elle se trouvait à présent plaquée à plat-ventre dans l’herbe. Cette branche était passée très près, trop près, l’arbre ne semblait pas de bonne humeur, avec adresse elle se releva et continua d’avancer. D’un geste agile elle se propulsa en avant, se réceptionnant d’une roulade alors qu’une des branches s’abattait violemment contre le seul, à l’endroit exacte où elle se trouvait. Tout cela n’avait durer que quelques secondes, heureusement pour elle qu’au bout de six années passées dans cette école avec sa condition elle avait acquit des réflexes hors du commun. Aucun entraînement n’était meilleur qu’un duel contre le saule cogneur pour sa survie. Avec un bout de bois qu’elle avait ramasser quelques minutes plus tôt, elle appuya contre le nœud entre les racines de l’arbre, le calme revint immédiatement dans le aprc comme si rien ne s’était passé. D’un bref regard furtif, mais banal, elle regard autours si il n’y avait personne et s’enfonça dans le petit couloir entre les racine.
Elle commençait définitivement à devenir trop grande pour ce couloir, mais elle avançait très vite, la respiration haletante. Elle n’aimait pas se passage, elle se sentait trop mal, sous terre, dans ce couloir étroit, sombre, enfermée. Et malheureusement cela ne durerait pas qu’une nuit, et oui la pleine lune dure plusieurs nuits d’affilaient ( d’après ce qu’on m’a dit ><) elle resterait ici en attendant que tout soit fini. Grâce à la potion tue-loup qu’elle avait avaler elle reprendrait sa forme le lendemain matin jusqu’à la fin de la journée heureusement. Ces pas la menèrent vers une petite salle, une vrai maison hantée vu de l’intérieur, de l’extérieur aussi d’ailleurs vu tout le monde croyait que des fantômes y étaient. Le « fantôme » justement se rendit dans une des salle de la maison, ce qui devait être une chambre vu le lit dépareillé qui y traînait. Elle passa sa main sur les draps miteux, une couche de poussière se soulevant au passage, il pourrait au moins faire le ménage sachant qu’elle venait ici. Continuant d’observer ce lieux familier elle aperçut un miroir brisait, s’approchant doucement vers les morceau de verre traînant sur le sol elle vit sur certain de ceux là des marques rouges séchaient. Cela datait de la dernière pleine lune, ne supportant plus l’isolement et la solitude, la jeune fille avait été prise d’une violente colère et avait tout détruit dans la chambre. Pas de chance, la potion annihiler l’instinct meurtrier du loup-garou mais pas celle de l’être humain, et malgré cette potion elle devait comme même venir ici, une fille se transformant en loup dans les dortoirs ce ne serait pas discret.
Soupirant elle se laissa glisser contre l’un des murs, laissant les bouts de verre l’entouraient, les yeux rivaient sur la porte de bois, attendant patiemment que les rayons de la lune viennent la toucher à travers la fenêtre de la chambre. Quand elle entendit du bruit, de toute façon elle aurait tout entendu tellement ces sens étaient aux aguets dans ces moments là, se relevant à la hâte elle sortie sa baguette et la pointa sur la porte, son corps et son esprit prêt à l’action.

° COMME QUOI ON A PAS BESOIN D'HURLER À LA LUNE POUR RENCONTRER UN LOUP GAROU °

Trente-deux heures de train d’affilé… Lay était subjugué, il n’en revenait tout simplement pas (ce qui n’était pas si étonnant, venant de lui). Il venait d’apprendre que sa tante Suzy avait dû faire ce trajet jusqu’à l’hôpital où sa mère était née parce que oncle Laurence le lui avait demandé. Autant vous dire tout de suite que Suzy est enceinte de huit mois et quelques, et que ce ne devait pas être une partie de plaisir que de faire tout ce trajet. Il faut vraiment être déterminé, quand même ! Lay discutait donc de cet évènement bouleversant (u_u) de sa vie quotidienne et de la lettre longue de quarante centimètres que sa mère lui avait envoyé avec une photo de la petite Tracy. C’avait été tout un choc pour Lay et ses parents d’apprendre que Laurence allait avoir un bébé – vu la froideur et la discipline qui semblait émaner de lui comme de larges rayons de soleils flamboyants. Quoi qu’il en soit, les élèves présent finirent par perdre patience et réussirent à semer Lay en se servant de sa naïveté pour l’attiser dans ses endroits d’où il ne pourrait les voir. Le jeune garçon, après avoir réussit à se libérer du placard à balai où on l’avait méchamment enfermé, se dirigea vers le hall du château et vit une demoiselle qui attira tout de suite son attention. Elle semblait bien seule au milieu des groupes qui se dirigeaient hors de la Grande Salle, et Lay décida d’aller lui parler, mais alors qu’il s’apprêtait à lui tapoter l’épaule, celle-ci décida de continuer son chemin jusqu’à…l’extérieur o_o.

Et le gamin suivit de nouveau, que pouvait-t-il espérer d’autre ? Il n’avait de toute manière rien à faire de sa journée… Alors pourquoi la gaspiller à lire des bouquins de Quidditch quand on peut se faire une amie ? Lay marchait assez rapidement, mais il était souvent distrait, et cela agaçait considérablement ses copains. Il marchait, et tout à coup il s’arrêtait pour regarder quelque chose qui ne semblait avoir aucun intérêt. Après s’être assuré qu’il avait assez de vêtements sur lui – car oui, il portait sa veste dans l’école – il poussa les grandes portes du château et sortit à l’extérieur. Un vent vint immédiatement lui souffler au visage, et un sourire apparut rapidement tandis qu’il inspirait un peu d’air pur. Comme c’était bon de se retrouver ici… Et comme Lay ne connaissait pas encore très bien les alentours, ce serait une bonne occasion pour commencer à s’y retrouver ! La demoiselle était à quelques mètres de lui, et apparemment elle ne l’avait pas vu. Lay aurait pu crier, s’il en avait eu le courage, mais la personne était intimidante, en soit, et il n’osa pas se mettre à gueuler ; les représailles il en avait déjà assez comme cela !

Le Saule Cogneur fut l’endroit choisit par la demoiselle. Après s’être fait brassé par les longues branches destructrices, elle réussit à calmer le saule en utilisant un bâton assez long, et en touchant une racine bien précise. Lay avait encore cet ahurissement commun aux moldus pour tout ce que les sorciers pouvaient faire, et, en cet instant, son visage exprimait beaucoup d’admiration et de curiosité. La lune menaçait de pointer le bout de son nez, déjà. Les étoiles apparaissaient peu à peu et Lay hésitait… Y aller, ou pas ? C’est que l’élève féminin en question venait de passer par un trou dans le Saule. Lay se mordit la lèvre, s’inquiétant de ce qu’il découvrirait dans cet endroit secret. Puis il prit son courage à deux mains et se mit en marche, ramassant la branche, appuyant sur la racine et passant dans le Saule. Il suivit ensuite un tunnel terreux, et son imagination lui joua bien des tours. D’abord il songea à des tonnes d’araignées gluantes, puis à d’effrayants cadavres dont il ne resterait que la structure osseuse… sans oublier les fantômes… Les morts-vivant ! Lay tremblait de la tête au pied lorsqu’il trouva une sortie au bout du tunnel, mais contrairement à ce qu’il croyait – c’est-à-dire à sortir dans une forêt magnifique – le jeune homme se retrouva dans une vieille baraque effrayante, où il régnait un silence de mort. Il se boucha les oreilles, cherchant une sortie, et entendant des craquements à l’étage supérieur. Étais-ce les fantômes meurtriers venus le chercher pour l’emmener au pays des leurs ? Ou bien peut-être s’agissait-t-il d’un meurtrier qui élaborait ses plans… le quartier général d’un groupe redoutable ? Des dizaines de scénarios apparurent dans sa tête, tous plus invraisemblables les uns que les autres. Vous connaissez le truc, n’est-ce pas ? Plus tu penses à des choses effrayantes, plus tu as peur, plus tu panique… c’est un vrai cercle vicieux !

Après un instant à désespéré assit sur une chaise à moitié cassée, Lay décida d’avancer prudemment dans le couloir le plus proche. Il s’avéra que l’une des chambres était ouverte, et ce ne fut pas long avant que le tremblant petit monsieur Rossfell mette son œil dans l’ouverture pour voir qui y était, il tomba nez-à-nez avec la demoiselle qui cherchait, celle-ci brandissant avec adresse sa baguette magique sur lui. Lay poussa doucement la porte, puis entra à l’intérieur de la chambre, les yeux écarquillés de terreur, et ayant la bouche sèche. Il posa ses mains derrière son dos et fixa la fille.

« - J’n’ai pas fait exprès, je ne savais pas que c’était ta maison »

La phrase était tellement stupide et gamine qui n’importe qui de sensé aurait éclaté de rire ou tout simplement écarquillé les yeux de surprise… Comment un enfant d’onze ans arrivait-t-il à être aussi idiot ? Il baissa rapidement les yeux à ses pieds, puis rougit légèrement, comme un gamin prit en faute. Il venait de faire une grosse bêtise, il le sentait… La lune se dessinait déjà par la fenêtre placardé de la chambre… on voyait les rayons de lune traverser les interstices. Étrangement, Lay eut encore plus peur, comme si une force invisible venait d’exploser dans la pièce.

« - Je… je »

Il ne savait plus quoi dire, inquiet et paniqué à la fois, mais tentant à tout prix de garder son calme. Seule cette fille pourrait lui venir en aide.

Quelle surprise ce fut pour la jeune fille de voir appaître sur le seuil de la porte un jeune garçon, qui ne semblait être qu'en première année. Mais qu'est-ce que faisait un aussi jeune garçon dans la cabane hurlante, elle était pourtant sûre que personne ne la suivait, se serait'elle tromper ? Pourtant ses sens et son instinct ne l'avait jamais tromper jusque là, mais bon le mal était fait et ce jeune gryffondor, seul un de cett maison aurait eut le courage de suivre une serpentard à cette heure-ci, se trouvait là. Et ça un posait un problème et de taille, la vert et argent n'allait aps rester sous sa forme humaine bien longtemps à présent, et même si la potion tue-loup lui permettra de se controler et donc d'être innofensive ce n'était pas son plus gros problème. Si ce garçon restait là il la verrait, sous sa forme la plus abominable, et qui pouvait lui promettre qu'il n'allait pas raconter cela à tout le monde et ainsi la forcer à quitter cette école ? Surtout que sous la panique il pourrait très bien tout dévoiler et il ne semblait pas être très rassurée là alors qu'elle était encore sous sa forme humaine. Mais en tout cas si son secret était appris des élèves, les parents seront vite au courant et réclamarait son départ immédiat de l'école. Même avec cette potion il ne voudrait jamais que leur gentils rejetons se retrouvent dans la même école qu'une créature abominable comme elle. Et elle n'aurait plus qu'à partir, mais que faire en dehors de l'école, en tant que lycante elle ne trouverait sûrement pas de travail et sans Teddy elle n'était rien.
Le seul moyen de s'en sortir etait de faire partir ce jeune garçon mais quelle solution employée ? Le terrorisé encore plus ? Le supplier de partir ? Le rassuré et lui expliqué qu'il faudrait mieux pour lui et pour elle qu'il parte et oubli ce qu'il est vu ? Toute ces solutions se bousculaient dans la tête de la louve qui cherchait avec hâte une solution. Elle commença par baisser sa baguette et même par la rangée, se disant que lui faire peur ne serait pas pratique. Lentement elle commença à s'approcher du première année, les paumes levaient vers le haut dans un signe de paix et pour lui montrait qu'elle ne voulait pas lui faire de mal.

-Ce n'est pas ma maison, mais tu ne dois pas rester ici, pour toi et pour moi il aux mieux que tu partes parce que...

Mais elle s'arrêtta nette, apercevant sur sa main une étrange lueur blanche. Un soupir après, elle leva les yeux vers la petite fenêtre à la vitre brisée et aperçut dans le ciel étoilée l'astre qui régnait en cette heure : la lune. Pleine, brillant d'une lueur macabre, entourée d'une sorte d'aura de puissance. Cette puissance, ce pouvoir qu'elle avait sur la jeune fille était effrayant, et après un dernier regard de supplication vers le garçon, même si elle savait que cela était inutile car il n'aurait plus le temps de partir, elle sentie la transformation commencer.
Douloureusement elle sentit chaqu'un de ses organes, de ses mucles, de ses os, de sa peau se modifier, changer de forme, de taille et même de composition. Certaine changer même de place ou dispairaissait, d'autre se rajouter. Exterieurement on pouvait la voir grandir alors que sa peau se couvrait d'un pelage brun/noir, ses épaule s'elargirent tout comme son torse, son visage se deformer dans un mouvement fluide alors qu'une immense geule apparaissait sur son visage qui resemblait déjà plus à celui d'un loup qu'à celui d'un humain. Ses pupilles se retractèrent et ses yeux s'injectèrent de sang pour fixer le jeune homme. Ses vétements étaient comme absorber par sa peau alors qu'une queue touffue apparaissait derrière elle.
Alors que les transformations physique sachevait, une louve a l'attitude presque humaine se tenant à l'endroit exact ou se tenait il y a quelques secondes une jeune fille de seize ans, celle-ci sentait l'esprit du loup tapis dans un coins, éloignée grace à la potion tue loup. Mais il savait, et attendait, car pendant les grandes vacances elle ne pouvait pas se fournir en potion, il attendait donc ce moment pour être enfin libre et prendre le controle de ce corps qui devrait être le siens.
La louve recula dans un coin, ne voulant pas que le jeune garçon croie qu'il allait l'attaquer, maintenant le mal était fait, son secret était dévoilé, mais que faire ! Elle n'avait rien à faire que d'attendre le matin, ou elle redeviendrait humaine jusque la nuit revienne et cela durant toute la période de la pleine lune. Et ensuite elle devra assumer sa condition, à moins que ce gryffondor tienne le secret...

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