~ Italia , Alessandra B.Wellington ~ [FINIT!]

+ Information Personnelle +

+ Nom : Brandy Wellington
+ Prénom : Alessandra
+ Surnom : Alessa ou Alyssa

+ Âge : 16 ans
+ Date de naissance : 9 juin 1991
+ Signe Astrologique : Gémeaux
+ Groupe Sanguin : O-
+ Sexe : Féminin
+ Ascendance : Sang-pur. Mais qu'es-ce que ça peut bien changer?

+ Lieu de Naissance / d'Habitation : Alessandra est née en Italie, d'un père anglaise et d'une mère italienne. Ayant retrouvé celle-ci pendant l'été, elle habite maintenant dans sa maison pendant les vacances, un impétueuse villa surplombé d'une vue magnifique.
+ Langue(s) parlée(s) : L'Italien, le latin, l'espagnol, l'anglais et le français [ Mais difficilement ]

+ Maison : Gryffondor
+ Année Scolaire : Sixième année
+ Poste : Aucun pour le moment...mais elle aime s'impliquer dans l'école, jusqu'à s'épuiser.

+ Objet Fétiche : Un petit sac contenant quelques bricoles et autres trucs pouvant se montrer utiles.
+ Matière Préférée : Les potions.
+ Matière Détestée : L'histoire de la magie.
+ Epouvantard : Un lit. [ Elle craint le sommeil pour ces cauchemards et par conséquent, est semi-insomniaque]
+ Patronus : Un wombat [ Marsupial]

+ Voix : Alessandra à une voix assez grave mais en même temps, suave et féminine. Disons qu'elle sait jouer avec les sons, et imiter la voix des autres fait partie de ses capacitées.
+ Parfum : Celui de la nature...ce qui signifie pas que c'est agréable à sentir.
+ Équipe préférée : Dynam Troll
+ Nombre de piercings : Deux, aux oreilles.
+ Tatouages : Un soleil lumineux dans le bas de son dos, un fleur aux épines acérées sur le haut du bras et une lune sur la cheville.
+ Couleur des chaussettes : Bah...multiple couleur. Tant que c'est des chaussettes...et tant pis si elles sont dépareillées!
+ Le prénom qu’il n’aurait jamais voulu porter : Arthur...bah ouais, c'est un prénom de mec!
+ Position dans laquelle il dort : Replié sur elle-même...lorsqu'elle dort. Autant dire que c'est extrèmement rare.
+ Lunettes ou verres de contact : Verres de contact...mais elle n'a besoin de ni l'un ni l'autre.
+ Couleur préférée : Vert limette
+ Saison détestée : Aucune. Elles sont toutes remplies de mystère, d'odeur et de paysages fabuleux.
+ Nombres de relations sérieuses : Sérieuse? Aucune. Mais des provisoires, elle en a eu des tonnes!
+ Alcool : La boisson? Disons, le whisky. Mais elle privilégiera un bon café au caramel à l'alcool...Pourquoi avaler un liquide infect au goût amer et devenir ivre lorsque nous avons la chance de siroter cette délicieuse merveille de la nature à base de cacao ?



~ Le médecine est dans ses gènes~
~ Sa passion est celle à son affligie~

~I don't know who I am~
~But I Know what I'm not~

+ Famille ~Mère :

Nom& Prénom : Fendora Brandy
Âge : 42 ans
Ascendance : Sang-Pur
Emploie ou Maison : Elle travaille au ministère de la magie
Histoire : Fendora est née dans une chaumière chaleureuse, au sein d'une famille purement italienne. Élevé dans des coutumes strictes, elle apprit néanmoins l'importance des parents dans la vie d'une adolescente, se promettant d'être toujours présente pour sa famille. Elle alla à Poudlard pour suivre ses cours et se retrouva dans la maison des serdaigles pour sa grande sagesse. En cinquième année, elle rencontre Samuel Wellington. Après des fréquentations tumultueuses et difficiles, le couple se fiança en juin au plus grand déplaisir de la famille de Fendora qui aurait voulu voir celle-ci épouser un Italien.

Deux mois plus tard, les tourtereaux étaient officiellement mariés. Ils s'aimaient passionnément et sans entrave et ils eurent 3 enfants. Paolo, Jacintha et Alessandra. Le problème vînt au troisième bambin...car pendant sa grosesse, Samuel tomba grandement malade. Il allait mourir et les médicomages ne pouvaient rien y changer . Après être resté à son chevet pendant des nuits, Fendora décida d'abandonner l'enfant qu'elle portait malgré ses profondes convictions sur l'importance de la famille.
Trois mois après son accouchement, Samuel mourrait, laissant sa femme et ses autres marmots en deuil.

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Le reflet de ses yeux est semblable à une mer
S'y réflète les plus belles des merveilles et l'horreur de l'humanité
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+ Description physique : La paille se mélange à l'or dans sa chevelure flamboyante et mi-longue, qui lui arrive légèrement en bas des épaules. Elle est blonde de nature,quoicque certains pourraient se méprendre et penser qu'elle est chataîne. Mais quelle importance cela peut-il avoir? Ses yeux sont d'un brun noisette profont, où réflète des morceaux de bonté arraché à la cruauté naturelle de l'homme. Une balafre au front lui sert d'ornement, blessure stupide causée par un duel avec un serpentard il y a de cela cinq ans. Sa peau est blanche plûtot que malté, signe qu'elle ressemble davantage à son père qu'à sa mère puisqu'elle n'a aucun point commun physique avec les Italiennes, à sa plus grande peine. Néanmoins, elle a un corps assez bien formé , sans embaupoint ou autres trucs désagréables du même qualibit.
+ Façon de s'habiller : Alessandra préfère les vêtements confortables comme les jeans ou les pentalons moulants. Elle aime être entièrement libre dans ses mouvements, sans avoir à être restreint par une jupe trop courte. Étant une personne active, elle supporte avec difficulté les robes . Pourtant, elle en porte fréquemment. Désireuse de se mettre ses atouts en valeur, tout en restant prude, l'adolescente est souvent vêtu de top ou de T-Shirt, sans décolleté de préférence.
+ Goûts Culinaires : Bah...tant que ça se mange. Elle n'est pas très difficile au niveau des aliments mais elle a un faible pour le café. L'Italien, bien sûr...
+ Goûts Musicaux : La musique calme qui ne détruit pas ses tympans. Non pas qu'elle déteste ce genre de chanson...mais disons qu'étant une personne qui réfléchit beaucoup, elle préfére les mélodies l'incitant à analyser davantage.
+ Particularité(s) : Alessandra est ordinaire au niveau des pouvoirs.. Totalement. Voir complètement. Mais son caractère et sa manière de vivre font d'elle une personne spéciale, à sa manière.
+ Relation(s) avec les autres :L'Italienne est une personne extrèmement sociable et très appréciée par son entourage. Elle n'hésite pas à venir en aide aux autres et se faire des amis est pour elle une chose très aisé. Quant aux garçons, elle préfère attendre "la personne" qui fera frisonner son être tout entier...alors pour le moment, elle se contente de sortir avec des mecs pour passer le temps. Bref, des fréquentations qui ne servent à rien.

Histoire

- Sa Naissance ,son enfance : Un vent glacé soufflait sur la ville, insufflant à ces habitants des idées sombres. Ceux-ci étaient d’ailleurs en majorité entassés dans leurs maisons, insensibles à cette pancrace que livrait le climat à mère nature. Bien à l’abris sous leurs pénates de bois, style architectural anglais datant du 18e siècle, la plupart sirotaient une tasse de café fumant en lisant le journal. Il faut dire que les événements des derniers jours avaient tout pour intéresser la petite population qui vivait éloignée du grand monde, dans une ville ressemblant vaguement à un mélange ancien et moderne, ce qui n’avait rien d’attrayant pour des acheteurs potentiels. En effet, la moitié de ceux qui habitait Myrtgal, la place en question, était descendant des premiers arrivants de la cité. Désireux de rester attachés à une partie de leur vie, ils étaient restés sur place jusqu’à une dizaine de génération. Certains étaient parties, emportant avec eux souvenirs et familles , à la recherche d’une civilisation moins primitive au niveau des technologies. La plupart de ceux qui habitaient l’endroit se connaissaient, car la ville en question avait plutôt l’allure d’un village. Les nouveaux venus, qui se faisaient très rare, étaient dès qu’ils mettaient le pied au sol de ce coin éloigné, jugés, étiquetés, puis, dépendant du statut d’intérêt plausible, jetés aux oubliettes. Chacun connaissait l’histoire et même les secrets les plus intimes de son voisin car cacher quoi que ce soit à Myrtgal était chose impossible. Des légendes lugubres circulaient sur la ville et son passé n’était pas des plus reluisant. Des histoires de traîtrises, de mensonges et même, de décès. On racontait que parfois, des hommes à capuches noires venaient roder dans les parages, et chacun se plaisait à répéter cette rumeur. On utilisait ce bobard pour faire peur aux adolescents trop téméraires et au trop rares enfants du coin, qui était chéris comme des petits anges par leurs parents surprotecteurs. Et même si ce qu’on racontait était faux, les inconnus n’ayant été aperçut qu’une seule fois, les portes chancelantes étaient barrés à double tour. La pusillanimité guidait les habitants dans leurs moindre faits et gestes, sauf dans leurs dires. Car s’ils surveillaient leur actions avec attention, on ne pouvait en dire autant de leurs paroles. Chaque dimanche, les femmes et les hommes se ressemblaient vêtus de leurs plus beaux habits au pub du coin, lieu de rassemblement. L’endroit en question ne faisait pas moins de 30 mètres carrés et était entassé juste à côté de la brasserie commune. La peinture brunâtre s’était écaillée avec le temps et les diverses décorations , d’on une épée rouillée et une banderole datant de plus de cent ans, aidaient plutôt à rendre l’atmosphère encore plus pesante qu’elle ne l’était déjà. Le barmaid cependant, était un chic type. Sans doute le seul à qui on pouvait vraiment faire confiance dans tout Myrtgal. Alors qu’il servait dans des verres crasseux un liquide jaunâtre, il écoutait d’une oreille attentive les histoires que ces clients se plaisaient à lui raconter. Et contrairement aux autres habitants, il n’émettait aucun commentaire. C’était sûrement cette qualité qui faisait de lui un homme d’on la compagnie était très apprécié, malgré l’état de décrépitude de son lieu de travail. Malheureusement, on ne pouvait en dire autant de sa femme. De toute la communauté, elle était sans aucun doute la plus bavarde, ce qui en agaçait d’ailleurs plus d’un. Pourtant, c’était pour elle et non pour son mari, que tous se ressemblaient en ce pub. Pour connaître les dernières nouvelles, toujours agrémentées de la petite touche personnelle de la conteuse. Et aussi pour trouver chaussure à leurs pieds. En effet, fils de paysans et fille de bonne famille se côtoyaient sur la place. Les pères désirant trouver un époux pour leurs progénitures se rendaient en ce lieu, amenant avec eux leurs rejetons,parfois n’étant âgés que de 15 ans et décidaient pour eux, celui ou celle qui allait devenir leur gendre ou leur bru, dépendant des cas. Cette pratique était typique à Myrtgal, quoique encore pratiquée un peu partout autour du globe. Les couples ainsi formés n’étaient guère heureux et pourtant, ils agissaient ainsi à leurs tours avec leurs descendances. Les habitants s’étaient empêtrés dans une routine malsaine et ne pouvaient en sortir. Briser les coutumes de la population valait aux malheureux un rejet total de la communauté. Alors personne ne s’y risquait. Le cercle des dirigeants, plutôt représentant de la minuscule ville, étaient composés d’une dizaine de femme aux cheveux poivres et sels ainsi que deux ou trois hommes ne dépassant pas la cinquantaine. Leur réunion ne durait guère plus d’une heure, et était souvent ponctuée de silence embarrassant. Chacun savait que quelque chose clochait, mais tout changer aurait été un bouleversement majeur dans la vie des citoyens et ils ne pouvaient ce le permette. Alors en final, la situation restait la même. Encore et encore. Tout le monde savait que l’annexion ne mènerait, encore une fois, à rien et les plus vieux ayant atteint l’âge d’or se mettaient à espérer secrètement que leur civilisation n’allait pas s’éteindre par manque d’éphèbe. Car de leur temps, les choses étaient les mêmes. Malheureusement. Et étendu dans leurs grabats, seuls, anéantis, leurs petits corps frêles secoués d‘interminable tremblement, ils repensaient avec atrabile au bonheur qu’ils n’auront jamais connu.

Ce fût donc l’un d’eux, ce soir-là, qui ouvrit sa feuille de choux à la page 16, histoire de voir les nouveautés, trop vieux pour aller les écouter dans le pub où tous avaient coutumes de ce rencontrer. Les arbustes et conifères agitaient tristement leurs branches,cognant contre sa fenêtre légèrement givrée, dans l’espoir vain de sortir intacts des bourrasques. Un feu crépitait allègrement dans sa cheminé, lui procurant une certaine chaleur , insuffisante cependant, pour réchauffer sa chair ridée. Remontant d’un geste habitué ces besicles aussi vieilles que sa propriété, il se tourna légèrement vers la gauche pour capter entièrement le mince faisceau lumineux de sa lampe à huile.En face de lui, une fresque en tout point conforme à celle dans les grottes d’Altamira en Espagne, avait été peinte quelques années auparavant par son neveu, désireux de lui apporter ne serai-ce qu’un peu de réconfort. C’était justement sa seule source de motivation voir de bonheur dans sa vie devenu morne .Gâchée. Depuis le début jusqu’à la fin. Gâchée, celle de ses enfants, et de leurs enfants. Gâchée, toutes les vies à venir qui allaient descendre de sa personne et de sa défunte épouse.Celle-ci était décédée il y a de cela quelques années, terrassée par une maladie étrange mais présente qui eu raison d’elle et des espoirs du patriarche.Celui-ci, encore aujourd’hui, lui en voulait terriblement de s’être laissée mourir. Car c’était ce qu’elle avait fait. Elle aurait pu vivre encore si elle en aurait éprouvée le désir mais de toute évidence… En silence, le vieillard versa une larme qui vînt diluer l’encre sur le papier qu’il tenait dans ses mains affaiblis par l’âge. Il aurait sans doute continué à se torturer ainsi si il n'aurait perçut à travers la tourmente du vent de légers coups frappés à sa porte. Debout, devant l'embrassure, tenant fermement un poupon emitouflé dans une couverte, sa soeur tremblait en silence, souffrant d'une séparation prévu depuis longtemps.

[Suite]

Alessandra eue une enfance normale. On l'informa de l'origine de sa vraie mère dès ses 3 ans et elle accepta cet abandon avec une sagesse extraordinaire pour une enfant aussi jeune. Dès lors, il était évident que la gamine deviendrait avec le temps une personne convoîtée pour sa maturité. En grandissant, ces qualités devinrent encore plus distinctes et la jeune fille se transforma rapidement en une adolescente disciplinée et généreuse.
[ Bon, je ne m'attarde pas trop sur l'enfance parce que, je trouve que c'est la période la plus barbante à décrire..]

Son adolescence::[Sous forme de rp]Alessandra se trouvait à Myrtgal, un coin perdu en Angleterre. En vacance chez son oncle, elle poussa la lourde porte d’un restaurant et se retrouva à l’extérieur. L’air était bon et pur étant peu pollué, seul avantage de Myrtgal, et l’adolescente prit plaisir à en aspirer de grande goulée avant de tout relâcher. Il était encore tôt, la tranquillité était donc de mise. Malgré cela, la jeune fille crût percevoir de lointains échos de voix, sûrement des bavardes du quartier et qui étaient, pour son plus grand malheur, des lève-tôt. Elle enjamba un vieux sac poubelle sur le gravier froid et commença à marcher. Les routes étaient désertes, et les passants étaient quant à eux, très rares . Seul chose positive : la pluie n’était pas de la partie depuis quelques jours ce qui lui évitait d’être arrosée par le passage des quelques voitures égarées , ressemblant vaguement aux Coccinelles de Volkswagens , passant près d’elle de temps à autre . Baissant les yeux, Alessandra consulta sa montre digitale à quartz. Sept heures. Elle aurait pût choisir de dormir davantage et par conséquent se réveiller plus tard, mais elle avait décidée que le plus tôt serait le mieux. Et en voyant ces ruelles, seulement animées par le mugissement du vent, elle ne regrettait pas sa décision. Car la ville avait un certain charme en son temps de repos. Les maisons, pour la plupart construitent entièrement de briques rouges vins ou au contraire de bois pourpres, s’élevaient avec gracieusetés sur plusieurs étage et les volets des fenêtres étaient, tous sauf quelques-uns, clos. Des rarissimes qui étaient ouverts, on pouvait apercevoir à travers les vitres rectangulaires de petites pousses qui s’élevaient vers on ne sait où. Sans doute des passionnés de la culture hydroponique. Alessandra savait qu’une telle pratique, qui consistait à faire pousser des aliments sans l’apport du sol, était très courant à Myrtgal étant donné qu’une grande partie de la population n’avait pas assez de terrain pour posséder un champ de plantation. Pour sa part, elle se demandait comment les habitants trouvaient le temps nécessaire à de tels activités, étant la plupart du temps occupés à déblatérer sur son voisin. Mais bon, c’était leurs affaires. Elle continua sa route et constata qu’en matière de construction, il y avait là quelques exceptions , d’on de majestueuses villas, réservé aux plus riches, ornés de colonnes et tympans. Diverses plantes grimpantes avaient, avec le temps, escaladés leur mur, ce qui ne faisait que renforcer davantage la vénusté de ces bâtisses. Un jardin florissant à l’avant de leurs propriétés complétait le tableau, ceux-ci possédant les moyens contrairement aux plus pauvres. Anémones safran, pâquerettes au calice d’un vert vif, tulipes aux pétales vermeils arrondis, coquelicots à l’étamines purpurins, roses aux épines tranchantes et narcisses à fleurs blanches se côtoyaient en ce lieu. Il n’y avait qu’un mot pour décrire ce que ses yeux voyaient : splendide. Mais ce n’était qu’une façade. Car lorsque le soleil montrerait ces premiers rayons et que la ville toute entière sortira de sa torpeur pour une nouvelle journée de calomniage, ce qui était ne sera plus et toute cette splendeur retournera dans l’ombre. Les enfants du voisinages, même si peu nombreux, piétineront les fleurs délicates et l’éclat de la lumière fera apparaître sur les murs anciens des égratignures et des teints jaunis. Sympa, non?

Il y a de cela quelques jours, Alessandra avait eu une rencontre avec sa mère. Un mélange d’ingérence et d’impatience l’avait alors envahit, tant elle attendait ce moment depuis longtemps. Et maintenant, c’était fait. L’année à Poudlard allait bientôt démarrer à nouveau et elle était prête. Prête à quoi? À affronter les regards désagréables des serpentards qui ne pouvaient pas comprendre que la sympathie et la charité existaient. Prête à supporter la jalousie des uns et des autres qui, eux aussi, ne pouvaient pas saisir qu’une personne puisse être aussi délicate mais ferme dans ses valeurs et convictions. Mais surtout, prête à donner son 150% pour être encore une fois, là pour tous le monde. Prête à écouter les confidences de son pire ennemi – bon, peut-être pas à ce point – et à rassurer sa camarade de classe sur l’avenir. Oui. Elle était prête.

Ses études: Alessandra a toujours été une élève studieuse. À l'école, elle plaît à tous le monde, surtout les professeurs qui la considère comme étant une personne bien sage. Et pourtant, elle parle, rigole et prend des risques comme les autres, à la seule différence qu'elle respecte les enseignants. Ses camarades ont depuis longtemps compris que la belle Italienne n'était pas contre l'idée de rater un cour parfois, mais qu'il y avait néanmoins des limites à respecter.

Il était assez fréquent que l'adolescente brave des interdits, pour aller se balader dans le château ou dans la forêt interdite. Parfois, elle rencontrait d'autres élèves qui se joignaient à elle dans sa promenade, heureux de se retrouver en bonne compagnie. Les gens sont peu nombreux à se plaindre d'elle, même si c'est possible. Car être sympathique n'empêche pas le fait que Alessandra est une personne humaine qui a un tempéremment de feu. La provoquer est une chose dangereuse car sa colère froide, qui se résume à un calme exemplaire mais à une volonté de fer, est à éviter. Elle défend les plus faibles et ceux qui ne parviennent pas à s'exprimer et ce jusqu'au bout, peu importe ce qu'on peut raconter sur elle.

[Voilà, j'ai finit!Sorry pour les fautes, mais je suis légèrement épuisée et j'ai la flemme de tout relire! So...^-^]

Eh bien, eh bien !
Toute une fiche que nous avons là
Alors premièrement, Bienvenue sur Pétrificus Totalus.
Je dois dire que cette fiche est captivante, pas de problème (même pour les fautes, personnes n'est parfait ).
Cela va de soit, je te valide !

Gryffondor, Sixième année