[ Jimmy ] avalacéfiniii =D huh.

+ Nom : Jones
+ Prénom : James Edward
+ Surnom : Jimmy

+ Âge : 17 ans
+ Date de naissance : 15 juin 1990, O6 :00 pm.
+ Signe Astrologique : Gémeaux
+ Groupe Sanguin : O positif
+ Sexe : Masculin
+ Ascendance : Pure.

+ Lieu de Naissance / d'Habitation : Londres – Poudlard.
+ Nationalité : Anglaise.
+ Langue(s) parlée(s) : Anglais, Français approximatif.

+ Maison : Serpentard
+ Année Scolaire : 7ème
+ Poste : aucun.

+ Matière Préférée : Aucune.
+ Matière Détestée : Toutes.
+ Epouvantard : la mort.
+ Patronus : un vautour.

+ Voix : Grave et basse, très douce. Chantante, délicatement envoûtante mais tintée d’un cynisme profond et glacial. Parle avec insolence, une insouciante négligence, et prônant la fatalité.
+ Parfum : Masculin, suave et musqué, le genre de parfum qui obsède et qu’on reconnaît au milieu de la foule, par lequel on se laisse volontiers tourner la tête.
+ Équipe préférée : Aucune.
+ Nombre de piercings : Toute l’oreille droite est couverte d’anneaux [ dont un écarteur au lobe ], l’arcade droite est percée aussi, la langue, le côté gauche de la lèvre et la nuque.
+ Tatouages : Un Mort aux Vaches sur la bosse du poignet droit. Il se l’est fait lui même, avec une aiguille et de l’encre.
+ Position dans laquelle il dort : Fœtus.
+ Lunettes ou verres de contact : Jimmy est myope depuis l’enfance. Il n’a jamais porté de lunettes. Ca ne le dérange pas.
+ Couleur préférée : Toutes.
+ Saison détestée : Aucune.
+ Nombres de relations sérieuses : Aucune.
+ Alcool : Addict. Ajoutez à ça tous types de drogues dures comme douces qu’il se procure par contact avec des moldus, la marchandise circulant par hiboux. Jamais il ne s’est fait prendre.

+ Plus tard, il sera : il continuera d’être artiste. Jimmy fait de la peinture depuis qu’il est enfant. Sur feuille, sur toiles, sur tissus, sur verre … Il a tout essayé, même le graph., qu’il continue.

+ Baguette Magique : 34, 75 cm, bois de saule, extrait d’alihosty.

+ Animal de compagnie : Abraham, un rat albinos, rescapé de laboratoire.

+ Description physique : Le corps est tout en longueur. La musculature sèche, développée avec le temps. La carcasse est grande et maigre, puissante de nervosité et de fougue. Du feu dans les tripes. Le visage est long, comme le corps, triangulaire, anguleux. Masculin, les traits bien dessinés, la peau trop blanche peut être. Les sourcils fins, l’arcade prononcée, assombrissant le regard. Le contour des yeux légèrement violacé, souvent des cernes. L’iris gris, à peine bleuté. L’œil est vif, intelligent. Très intelligent. Trop peut être, rusé, malsain. Quelque chose de démoniaque dans ce qu’il dégage, qui effraie ou qui fascine. Le nez est fin, pointu. Les pommettes hautes et les joues creuses rappellent la morphologie du renard. La bouche est petite, les lèvres serrées et sombres, sanguines, jurant avec la blancheur de la peau. Les cheveux longs et raides, d’un blond un peu terne, cendré, sont soit lâchés, soit en catogan, retenus par un bandana. L’allure inspire force et confiance en soi, puissance psychique. Le genre qui pourrait avoir une mauvaise influence sur les autres. Ou immiscer des tensions dans un groupe juste par la présence.
+ Façon de s'habiller : Junkie jusque dans l’apparence, Jimmy reste pourtant très simple. Quand il ne porte pas l’uniforme, il s’habille à peu près toujours de la même façon. Large pantalon noir ou kaki de préférence, marcel blanc. Souvent une écharpe, un blouson miteux et son catogan ou un bonnet. Des mitaines.
+ Cicatrices : Une longue trace en travers de la main gauche.

+ Goûts Culinaires : James n’a pas beaucoup d’appétit. Il mange peu et quand il le fait, il ne prend pas son temps. Quand on le regarde on comprend la subtile nuance qui existe entre les termes « manger » et « se nourrir ».
+ Goûts Musicaux : grand amateur de jazz, c’est aussi un accro de techno [ hardcore ].
+ Particularité(s) : peintre de talent. Personne n’a jamais vu ce qu’il fait, ni ne sait qu’il peint.
+ Relation(s) avec les autres : Jimmy n’a de relations avec les autres que pour profiter d’eux.

+ Description psychologique : Intelligence cruelle. Fierté excessive. Egoïsme poussé à l’individualisme profond. Il n’est même pas prétentieux. Juste antisocial, à la fois poli et vulgaire, doux aux accès de violence comme des bouffées de chaleur ou des pulsions instinctives. Il fait très animal. Furtif. Discret. Taciturne. Calculateur, sans failles en apparence. Il obtient toujours ce qu’il veut, et respire par l’évidence bien connue que la faim justifie les moyens. Le seul but de son existence et d’exister tout simplement, en se servant des obstacles qu’il rencontre pour avancer. Les êtres humains sont pour lui des objets, à la limite des concepts mais jamais il ne pose de sentiments sur un visage. Ou alors il faut que son propriétaire soit particulièrement exceptionnel pour savoir toucher tout au fond de sa cervelle ce qu’il reste d’humanité. Il est en décalage complet des normes, c’est pourquoi il est très difficile de le décrire. Il n’est pas beaucoup plus qu’un réseau où circulent des pulsions électriques et des idées furtives saturées de stratagèmes fous et dangereux.
Pourtant son cerveau détruit par les drogues génère d’autres phases à sa personnalité. Ces moments ou pendant une fraction d’instant vous lisez dans ses yeux le paroxysme de l’angoisse et la fragilité la plus déstabilisante, quand il hurle, recroquevillé, les entrailles en spasmes. Quand il pleure, quand il supplie. Quand à l’apogée de la peur sa violence l’emporte sur sa raison, c’est une créature démolie de l’intérieur, une forteresse assiégée par son propre roi. Et la douleur du corps tout ça, tout ça, à tout détruire à défaut de pouvoir encore créer.
Mais quand il est seul, aux yeux de personne d’autre que ceux de l’ange qui veille sur lui, il faut le voir, calme, épanoui. Douloureusement séduisant. Artiste intelligent et talentueux, à peindre, dessiner. Des étoiles plein les yeux, à caresser ses rêves du bout des doigts. Soucieux, mélancolique, une espèce de folie douce propre à ce grand maniaque, désabusé par sa propre vie, écrasé sous ses propres bases. Perfectionniste et délicat, exigent envers lui-même. Fier. Et ne sachant pas qu’il existe la plupart du temps cette parodie de lui-même qui ne vit que pour détruire son existence …

+ Troubles psychologiques : schizophrénie, paranoïa, dépression. Pulsions destructrices et autodestructrices.


+ Famille :
Nom& Prénom : James Jones Senior
Âge : 59 ans
Ascendance : Pure
Emploi ou Maison : Sorcier milliardaire, vit reclus dans son manoir avec sa nouvelle femme qu’il séquestre. Il a à son service des moldus qui entretiennent le domaine, et qui sont logés ensemble dans une baraque au fond du terrain, qui s’étend sur plusieurs kilomètres à la ronde.
Caractère : Mauvais, sombre, glacial. Manipulateur, intelligent, diabolique et sans faille, il est la seule famille restante de James depuis le suicide de sa mère.

+ Histoire : James Edward Jones vit le jour pour la première fois dans un hôpital de Londres. Ses parents étaient de riches anglais exubérants que personne ne connaissait, à leur grande horreur. Pourquoi ils étaient venus dans cet endroit minable ? Et pourquoi pas ?
Bref. Là n’est pas la question. Ce qui est important c’est que c’est jour là qu’est né notre ami Jimmy. A l’époque il ne connaissait rien encore de la vie, et heureusement pour lui, ça l’aurait sûrement démotivé.
Il grandit dans le manoir familial. Entouré de moldus. Il ne côtoyait pas d’autres enfants que les enfants des serviteurs, et pensez bien que c’était interdit. Il était tenu de les traiter avec supériorité mais bon, vous avez déjà vu des enfants en mal d’amour traiter d’autres enfants avec supériorité ?
Non bien sur. Il les traitait comme ses amis. En secret, bien sûr. Leurs jeux enfantins au grand jour auraient été trop dangereux pour eux, comme pour lui. Son père était un grand fou, je n’ai pas envie de m’éterniser là-dessus parce que je n’aime pas les histoires trop longues. On perd le fil, tout ça tout ça, et moi, ça m’ennuie. Aussi je ne passerai que très brièvement sur les anecdotes essentielles de la vie de James, votre imagination fera le reste.
La mère de James, Madame James Jones [ paix à son âme ], était une toute jeune femme amoureuse des belles choses et de son fils, qu’elle aimait plus que sa propre vie. C’était une sorcière de sang pur, comme son détestable mari, mais elle n’en faisait pas une fierté. Elle apprit le plus tôt possible à son fils l’art des couleurs et la texture, le dessin, la peinture, la musique … Tout ce qui touche l’âme et guérit les maux du cœur.
Monsieur Jones détestait toutes ces sornettes. Mais il n’avait aucun pouvoir direct sur sa femme, ce qui l’exaspérait par dessus tout. Il comprit à la longue que le seul moyen de l’atteindre était de toucher son fils.
Il avait toujours été le père le plus odieux. Violent, humiliant, provocateur. Il allait faire pire. Pire que ça. Il allait être un monstre, pour détruire la mère de leur progéniture. Un jour il tendit à son fils une feuille et une plume pour lui apprendre à écrire. Le principe était simple, recopier des suites de lettres, on est tous passés par là. Machinalement, l’enfant prit la plume dans sa main gauche, et la posa sur le papier. Il n’eut que le temps de voir un éclair argenté et soudain du sang, partout, et la douleur dans sa main, dans son bras, dans son cou, dans ses tripes partout, il avait mal. En reprenant de la lucidité, il vit sa main, plantée sur la table de bois par le poignard où luisait le blason de son père.
C’est comme ça que notre cher Jimmy devint définitivement droitier.
Sa mère s’effondrait. Plus les mois, plus les années passaient, plus James Senior détruisait James Junior et elle, par la même occasion. La torture cessa, d’une certaine manière, quand Jimmy entra à Poudlard. Enfant adulte, détruit trop tôt, extralucide et beaucoup trop mature, violent, dérrangé, il fut envoyé à Serpentard. Inutile de préciser qu’il ne se fit aucun ami. A l’époque, Jimmy connaissait déjà les joies de l’évasion illicite, et les drogues lui suffisaient, en terme de compagnie. On s’étonne qu’il ne soit toujours pas mort.
C’est l’année de ses treize ans que sa mère, poussée à bout par son mari, préféra se laisser mourir plutôt que de continuer d’endurer ça. La mort commença à la ronger psychologiquement. Elle devint un cadavre. Un fantôme. Ne se nourrissant plus, ne dormant pas non plus, ne parlant à personne, sa folie finit même par la rendre aveugle. Et Jimmy comme spectateur impuissant vit sa mère mourir dans un monde qui n’était plus vraiment ce monde là, puisque tout allait au ralenti.
N’en pouvant plus de vibrer, elle finit par mourir, laissant un héritage immense [ et pas seulement de l’argent ] à son bien aimé fils qu’elle chérirait encore jusqu’à ce que le ciel n’existe plus.
Cet événement fit tomber James plus bas encore, puisque apparemment il n’était pas déjà au fond. Et ce fut l’élément déclencheur de toute la longue décadence qui fit de lui ce qu’il est aujourd’hui. Il continua tant bien que mal à suivre les cours, à rester à Poudlard pour échapper à son père. A préparer ses examens, à les réussir. A réussir malgré tout pour ne pas que la mort de sa mère ait été vaine. D’autant plus qu’il en est sur, elle veille sur lui encore maintenant. Et voilà mon histoire est terminée, pour les détails croustillants, regardez-le comme il survit et imaginez ce qui a bien pu le rendre aussi cadavérique …


+ P.S. : Pardon pour l'histoire da pas inspiré, dodo.

lol pardon pour l'exagération xD je voulais faire un type dangereux. mais z'en faites pas Ô suprême admin, il n'y aura pas d'excès en jeu ...